La Qualité de Vie au Travail : quel impact pour le client final ?
- Retour vers EDinstitut
- Nous contacter
-
MENU
Bien (trop) souvent quand on entend parler de Qualité de Vie au Travail (QVT), cela se résume à des éléments visibles. Malheureusement ce discours réducteur nuit au fondement même du concept.
Quand la Direction met l’accent sur le baby-foot installé en salle de pause en se targuant d’avoir une politique QVT et qu’à côté de cela, le fameux baby-foot en question n’est jamais utilisé, on commence à se poser des questions. Généralement, il n’y a pas besoin de chercher bien loin pour se rendre compte qu’il ne s’agit que d’un vernis de façade et que le bien-être des salariés ne fait pas partie de l’ADN de l’entreprise.
En effet, la QVT est bien plus complexe que cela. La QVT s’appuie sur le bien-être des salariés en leur procurant les meilleures conditions de travail possibles. Certes cela passe par des choses très visuelles telle qu’une salle de détente agréable mais aussi et surtout par une multitude d’éléments immatériels qui demandent de repenser totalement l’organisation de l’entreprise.
Une entreprise orientée QVT se doit de développer une parfaite confiance respective entre la Direction et les salariés. C’est uniquement à partir de cette base qu’il est possible de développer les autres composantes de la QVT. Parmi les principales se trouvent l’autonomie, la responsabilisation, le lâcher-prise, le droit à l’erreur, la valorisation et l’équilibre vie privée-vie professionnelle.Afin de faciliter la compréhension de la QVT, nous avons conçu l’Iceberg de la Qualité de Vie au Travail puisque de la même manière qu’un iceberg, la phase cachée est la plus importante !
Philippe Studer est un voyageur passionné, conférencier, spécialiste de la Qualité de vie au Travail, inventeur des micro-rêves et chef d’entreprise
www.edinstitut.com